Les entreprises, informaticiens, physiciens, économistes, mathématiciens, politologues, sociologues, et beaucoup d’autres accordent un intérêt grandissant aux quantités massives d’informations produites ici et là au sein de notre société numérique. De plus en plus, on discute des bénéfices de l’analyse de l’information issue de Twitter, Google, Facebook, et de tout autre espace dans lequel un nombre de personnes de plus en plus important laisse des traces numériques et dépose des informations susceptibles d’être exploitables et exploitées.

Le phénomène Big Data est né.

Il doit son développement à la convergence de deux événements majeurs : d’un côté, l’explosion des informations manipulées au sein des éco-systèmes digitaux qui nous entourent, et d’un autre, la prise de conscience que certaines de ces nouvelles informations « brutes » pourraient être analysées et délivrer une nouvelle forme de valeur.

Face à l’importance grandissante du phénomène dans les médias et face au « buzz » marketing qui en découle, il semble plus que nécessaire de se pencher sur le sujet, de se poser la question d’une définition objective des Big Data, mais surtout d’identifier les forces potentielles du concept et bien évidemment ses limites.

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